Droit des successions

Le droit des successions est souvent vu comme un droit très contentieux. Il n’est est (presque) rien.

L’immense majorité des successions, même si elles justifient l’intervention de juristes spécialisés pour éclairer les discussions, se soldent amiablement entre cohéritiers.

Il est au surplus possible (souhaitable) d’anticiper sa succession et de prévoir des modalités de transferts des biens pour éviter tout contentieux. Dans le cadre de cette prudente anticipation, le concours des juristes est précieux.

À l’ouverture d’une succession, un avocat peut conseiller, assister et représenter une ou plusieurs parties, dans un contexte amiable ou, si la situation s’est dégradée, dans un contexte plus conflictuel, voire déjà contentieux.

Quelle que soit la situation, la présence d’un notaire est quasiment systématiquement indispensable ; en toute hypothèse souhaitable. Le notaire est un intervenant impartial, dont l’expertise est au service de la paix des familles.

Mais cette impartialité même ne lui permet parfois pas de développer les argumentations nécessaires à la défense des intérêts particuliers de l’un ou l’autre des héritiers, de prendre parti sur les difficultés parfois complexes qui peuvent opposer les intéressés, voire de convaincre l’un ou l’autre de l’intérêt d’un avis qui ne lui est pas exclusivement consacré.

La présence d’un avocat dès avant tout procès trouve donc tout son sens dans ces situations délicates.

Le cabinet est à votre service pour cela.

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